La vidéo, très présente dans les manifestations d’art contemporain, reste sous-représentée dans les foires. Ses difficultés à s’imposer sur le marché de l’art sont liées à ses contraintes en termes de visibilités, à la fragilité de son support (dvd), mais aussi à ses exigences spatiales souvent indapatées au contexte architectural des foires. Tandis que les artistes sont de plus en plus nombreux à penser très
Une table ronde est le lieu de débats, de prises de position qui permettent de mettre en place des éléments de réflexion. Associant récits d’expériences et analyses, celle qui a eu lieu pendant Show off a permis de confronter différentes personnalités investies chacune à sa manière dans les questions posées par le marché de la vidéo. Le découpage en séquence ci-dessous permet de suivre le déroulé de cette rencontre.
1/ Christian Gattinoni présente la revue lacritique.org
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2/ Mathilde Roman introduit les axes de réflexion abordés au cours de la table-ronde, et présente les invités
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3/ Stéphanie Moisdon propose des pistes de réflexion à propos de l’écart entre la faible représentation de la vidéo dans les foires et l’importance de ce médium dans la création contemporaine
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4/ Jean-Claude Quémin revient sur son parcours de collectionneur d’art vidéo, et analyse les difficultés spécifiques qui freinent les collectionneurs dans l’acquisition de ce type d’œuvres
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5/ Brice Fauché raconte ses tentatives de représenter des artistes vidéo sur des foires, et les contraintes économiques
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6/ Laurent Goldring pointe les dérives liées à la focalisation des artistes sur la production de la vidéo, et analyse l’impact de la diffusion sur son travail
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7/ Brice Fauché réagit par rapport à ce portrait de l’artiste en producteur, et sur les questions de support de diffusion
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8/ Jean-Claude Quémin et Stéphanie Moisdon reviennent sur le statut de l’œuvre vidéo, sur le multiple et sur les stratégies de raréfaction susceptibles d’encourager le collectionneur à acquérir des œuvres vidéo
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9/ Laurent Goldring recontextualise la pratique du contrat par les artistes
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10/ Brice Fauché s’exprime sur la pérennité des œuvres vidéo
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11/ Stéphanie Moisdon revient sur un exemple d’appropriation, de détournement d’images dans l’œuvre vidéo et sur les difficultés que cela pose au collectionneur
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12/ Christian Gattinoni met en cause les modalités de diffusion de la vidéo, entre mépris et séduction du corps du spectateur
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13/ Stéphanie Moisdon à propos de la collaboration de Pipilotti Rist avec le Bureau Des Vidéos
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14/ Derniers échanges : Laurent Goldring, Stéphanie Moisdon, Jean-Claude Quémin
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15/ Questions-réponses avec la salle
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